Technologie en Boulangerie Pâtisserie

Catégorie : Vocabulaire (Page 2 de 2)

Voca­bu­laire ( B )

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 Bain-marie
Bai­sure
Balance ~ Bascule
Balan­celle de détente
Ban­ne­ton
Bas­sinage ~ Bassiner
Bâtard
Bat­teur ~ Mélangeur
Beurre cla­ri­fié – en pommade
Beur­rer
Beurre Mycrio

Blan­chir
Blan­chi­ment (cho­co­lat)
Blés amé­lio­rants ~ Blés de Force
Blé ~ Blé tendre ~ Blé dur
Bou­lage ~ Bouler
Bou­lan­ger
Bou­lan­ge­rie
Bou­leuse
Brix :(Echelle Brix)
Bru­nis­se­ment enzymatique
Bru­nis­se­ment non enzymatique
Buée

Bain-marie

Eau chaude, dans laquelle on place un réci­pient conte­nant une pré­pa­ra­tion à cuire ou à tenir au chaud.

Le bain-marie, per­met de pré­ser­ver la pré­pa­ra­tion d’une cha­leur trop vive.

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Bai­sure

Lorsque les pains cuisent avec un espa­ce­ment insuf­fi­sant, au cours de la cuis­son, ils entrent en contact entre eux, la par­tie qui a tou­ché l’autre est ain­si peu cuite, on la nomme “ baisure ”.

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Balance ~ Bascule

La balance est un ins­tru­ment qui sert à peser. Elle est for­mée d’un fléau mobile et de pla­teaux dont l’un porte l’élément à peser, l’autre les poids marqués.

Aujourd’hui la balance est fré­quem­ment mono pla­teau et électronique.

La bas­cule est un appa­reil de pesée à l’aide duquel on mesure la masse d’objets volumineux.

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 Balan­celle de détente

Le repose pâton ou balan­celle de détente per­met de pla­cer dans des alvéoles ou gout­tières en feutre, un grand nombre de pâtons per­met­tant ain­si à la pâte de se détendre avant le façonnage.

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Ban­ne­ton

C’est un panier en osier de forme allon­gée ou ronde, habillé inté­rieu­re­ment d’une toile dans lequel se déroule l’apprêt du pâton tour­né à gris.

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Bas­si­nage ~ Bassiner

C’est l’ac­tion qui consiste à rajou­ter de l’eau dans la pâte pen­dant le fra­sage et/ou au cours de la 2e par­tie du pétris­sage (éti­rage et soufflage).

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Bâtard

C’est un pain fan­tai­sie court, d’une masse infé­rieure au bou­lot, (sou­vent d’une masse voi­sine de celle de la baguette). Il repré­sente en moyenne la valeur d’un demi parisien.

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 Bat­teur – Mélangeur

Il est uti­li­sé éga­le­ment pour émul­sion­ner les crèmes (Crème d’amandes, crème mous­se­line, etc..). Le bat­teur est doté de trois outils : le cro­chet, la feuille et le fouet qui seront choi­sis en fonc­tion de la fabri­ca­tion à réa­li­ser et de la consis­tance de la préparation.
Contrai­re­ment au pétrin, dont la cuve est ani­mée d’un mou­ve­ment de rota­tion sur un pivot cen­tral, pour le bat­teur la cuve est fixe et c’est le bras pétris­seur qui effec­tue un double mou­ve­ment de rota­tion (mou­ve­ment pla­né­taire). Avec le bat­teur-mélan­geur, la tota­li­té de la masse de pâte est pétrie simul­ta­né­ment. Le Bat­teur peut être uti­li­sé pour le pétris­sage de faibles quan­ti­tés de pâte.

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 Beurre cla­ri­fié – en pommade

Le beurre cla­ri­fié est un beurre fon­du et décan­té dont on a éli­mi­né de la caséine et du petit lait.

Le beurre en pom­made est beurre ramol­li ayant la consis­tance d’une pommade.

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 Beurrer

  • C’est enduire un moule de beurre afin d’empêcher les pré­pa­ra­tions d’attacher au fond ou aux parois.
  • C’est ajou­ter des mor­ceaux de beurre à une sauce.
  • C’est incor­po­rer du beurre dans la détrempe d’une pâte feuille­tée pour le tourage.

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Beurre Mycrio (Beurre de cacao)

Le beurre mycrio est du beurre de cacao réduit en poudre par cryo­gé­ni­sa­tion. Il est 100% d’origine naturelle.

Il doit être sto­cké entre 12 et 18°C.

Le beurre de cacao en poudre Mycryo est une matière grasse déso­do­ri­sée, son goût est neutre afin de pré­ser­ver les saveurs natu­relles des ali­ments. On l’u­ti­lise pour paner, cuire et émul­sion­ner. Cette matière grasse noble a la par­ti­cu­la­ri­té de rete­nir le jus des ali­ments lors de la cuisson.

Il résiste bien à des tem­pé­ra­tures élevées

Point de fumée du Beurre fin : 100°C, de l’huile d’arachide 200°C, du beurre Mycrio : 200°C

Ce type de beurre convient bien, en cui­sine pour des cuis­sons à la poêle ou à la plan­cha, il per­met de limi­ter l’ajout de graisse et de réduire l’apport calorique.

On l’u­ti­lise éga­le­ment en pâtis­se­rie car il per­met de tra­vailler long­temps le cho­co­lat avant qu’il n’épaississe. Ajou­ter seule­ment 1% de beurre Mycryo, soit 10g pour 1kg de cho­co­lat, pour obte­nir un cho­co­lat par­fai­te­ment fluide.

Le beurre de cacao Mycryo peut aus­si rem­pla­cer la géla­tine pour les gla­çages, les bava­rois, les entre­mets ou les mousses.

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 Blanchir

  • Blan­chir des jaunes d’œufs, c’est les tra­vailler avec le sucre tout en les fouet­tant jusqu’à ce qu’ils deviennent mous­seux et s’éclaircissent.
  • Blan­chir des fécu­lents, pla­cés dans l’eau froide et les por­ter à ébul­li­tion pen­dant quelques minutes, avant des les rafrai­chir pour faci­li­ter l’absorption de liquide lors de la cuis­son ulté­rieure. (Cas du riz au lait).
  • Blan­chir des zestes d’un agrume (orange, citron), c’est les pla­cer dans l’eau froide et les por­ter à ébul­li­tion pen­dant quelques minutes avant de les rafraî­chir pour éli­mi­ner l’amertume.

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Blan­chi­ment (Cho­co­lat)

C’est le phé­no­mène de désta­bi­li­sa­tion d’une fabri­ca­tion de cho­co­lats, cor­res­pon­dant à la migra­tion des cris­taux de sucre, et qui est liée à une conser­va­tion en milieu humide, ou à la migra­tion de par­ti­cules de matière grasse (blan­chi­ment gras).

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 Blés amé­lio­rants ~ Blés de Force

Sont nom­més “ blés amé­lio­rants ou blés de force ”, les blés qui pro­duisent une farine de haute valeur boulangère

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 Blé ~ Blé tendre ~ Blé dur

Plante de la famille des gra­mi­nées. C’est une céréale dont le grain sert à l’a­li­men­ta­tion. On distingue :

  • les blés tendres qui pos­sèdent une amande fari­neuse~ et que l’on nomme fro­ment lorsqu’ils sont panifiables;
  • les blés durs qui sont uti­li­sés en semou­le­rie pour la pro­duc­tion des pâtes alimentaires.

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Bou­lage ~ Bouler

Situé après le pesage, le bou­lage donne une forme sphé­rique aux pâtons.

Cette opé­ra­tion restruc­ture le réseau glu­ti­neux pour aug­men­ter plus ou moins la force de la pâte ; ain­si sui­vant le cas, le bou­lage est plus ou moins ser­ré. En cas force impor­tante de la pâte, le bou­lage est rem­pla­cé par le préformage.

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 Boulanger

Quels que soient le sta­tut juri­dique et les carac­té­ris­tiques de l’en­tre­prise, ne peuvent être exer­cées que par une per­sonne qua­li­fiée pro­fes­sion­nel­le­ment ou sous le contrôle effec­tif et per­ma­nent de celle-ci les acti­vi­tés de pré­pa­ra­tion ou de fabri­ca­tion de pro­duits frais de bou­lan­ge­rie, pâtisserie.

Les per­sonnes qui exercent ces acti­vi­tés, ou qui en contrôlent l’exer­cice par des per­sonnes non qua­li­fiées, doivent être titu­laires d’un cer­ti­fi­cat d’ap­ti­tude pro­fes­sion­nelle ou d’un bre­vet d’é­tudes pro­fes­sion­nelles ou d’un diplôme ou d’un titre homo­lo­gué de niveau égal ou supé­rieur. ”loi N° 96–603 du 5 juillet 1996).

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Bou­lan­ge­rie

Appel­la­tion de “ Bou­lan­ger ” et de “ Bou­lan­ge­rie ” Article L 121–80“

Ne peuvent uti­li­ser l’appellation de bou­lan­ger et l’enseigne com­mer­ciale de bou­lan­ge­rie ou une déno­mi­na­tion sus­cep­tible de por­ter à confu­sion, sur le lieu de vente du pain au consom­ma­teur final ou dans les publi­ci­tés à l’exclusion des docu­ments com­mer­ciaux à usage stric­te­ment pro­fes­sion­nel, les pro­fes­sion­nels qui n’assurent pas eux-mêmes, à par­tir de matières pre­mières choi­sies, le pétris­sage de la pâte, sa fer­men­ta­tion et sa mise en forme ain­si que la cuis­son du pain sur le lieu de vente au consom­ma­teur final ; les pro­duits ne peuvent à aucun stade de la pro­duc­tion ou de la vente être sur­ge­lés ou congelés. ”

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 Bouleuse

La bou­leuse donne une forme sphé­rique aux pâtons et per­met d’améliorer la struc­ture du réseau glu­ti­neux après le pesage, notam­ment lors de fabri­ca­tions com­por­tant une très faible durée de pointage.

Ani­ma­tion flash

Brix :(Echelle Brix)

Mesu­rée à l’aide d’un réfrac­to­mètre, « l’é­chelle Brix » sert à mesu­rer en degré ‘’Brix’’ la frac­tion de sac­cha­rose diluée dans un liquide (c’est-à-dire le % de matière sèche soluble). Plus le ‘’Brix’’ est éle­vé plus l’échantillon est sucré.
Un degré Brix équi­vaut à 1g de sac­cha­rose pour 100g de solution.

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 Bru­nis­se­ment enzymatique

C’est le phé­no­mène qui se pro­duit au contact de l’air (oxy­gène) à la suite d’opérations ou de trai­te­ments divers des végé­taux. (Éplu­chage, taille,) qui dégradent la struc­ture végé­tale externe et pro­voquent la libé­ra­tion de l’eau de consti­tu­tion et l’activation des enzymes (oxy­dases). Le phé­no­mène conduit à un chan­ge­ment de cou­leur carac­té­ris­tique du pro­duit (pig­ments bruns ou noirs, dési­gnés géné­ra­le­ment sous le terme de mélamine).

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Bru­nis­se­ment non enzymatique

Cara­mé­li­sa­tion et réac­tions de Maillard au cours de la cuisson.

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Buée

Vapeur d’eau pro­duite dans la chambre de cuis­son. Elle favo­rise la trans­mis­sion de la cha­leur, le déve­lop­pe­ment et la colo­ra­tion des pâtons. Elle freine éga­le­ment la perte en eau de la pâte.

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Voca­bu­laire ( A )

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Acide ascor­bique
Acti­vi­té fer­men­taire
Adju­vant
Addi­tif
Aéro­bie
Agents de fer­men­ta­tion
Alcool éthy­lique
Alvéo­gramme
Alvéo­graphe Cho­pin
Alvéoles ~ Alvéo­lage
Ami­don
Amy­lases
Amy­lose ~Amy­lo­pec­tine
Amy­lo­lyse ~ Hydro­lyse de l’a­mi­don
Anaé­ro­bie
Appa­reil (Pâtis­se­rie)
Apprêt
Auto­lyse
Auxi­liaire tech­no­lo­gique
Aro­ma­ti­ser (Pâtis­se­rie)

Acide ascor­bique

L’acide ascor­bique (E300), vita­mine C de syn­thèse, est un addi­tif uti­li­sé en pani­fi­ca­tion afin de ren­for­cer la téna­ci­té et l’élasticité des pâtes, ain­si que la tolé­rance des pâtons au cours de l’apprêt, notam­ment en fer­men­ta­tion contrô­lée. L’acide ascor­bique ne peut pas être uti­li­sé pour le pain qui porte la déno­mi­na­tion “ pain de tra­di­tion française ”

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Acti­vi­té fermentaire

On parle d’activité fer­men­taire pour résu­mer en une seule expres­sion l’ensemble des phé­no­mènes qui accom­pagnent la fer­men­ta­tion
d’une pâte. (Trans­for­ma­tions phy­si­co-chi­miques, déga­ge­ment gazeux et pousse de la pâte)

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Adju­vant

L’adjuvant est une sub­stance d’origine natu­relle, qui per­met de cor­ri­ger, d’améliorer ou de faci­li­ter la fabri­ca­tion d’un pro­duit. (Exemples : la farine de fèves, la farine de soja, le malt, le gluten).

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Addi­tif

On appelle addi­tif toute sub­stance qui n’est pas uti­li­sée comme ingré­dient de base, qu’il pos­sède ou non une valeur nutri­tive, et dont l’adjonction inten­tion­nelle est faite dans un but tech­no­lo­gique pour pré­ser­ver, ou ren­for­cer les qua­li­tés et la tolé­rance des pâtes

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 Aérobie

Se dit de micro-orga­nismes qui se déve­loppent de manière opti­male en pré­sence d’air ou d’oxy­gène (le contraire étant anaé­ro­bie). Se dit aus­si de phé­no­mènes qui néces­sitent la pré­sence d’air (repro­duc­tion de la levure). Exemple : fer­men­ta­tion acétique

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 Agents de fermentation

Les agents de fer­men­ta­tion sont des micro-orga­nismes d’origines diverses (levures ou bac­té­ries) capables de pro­vo­quer la fer­men­ta­tion de la pâte.

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 Alcool éthylique

C’est la sub­stance obte­nue par dégra­da­tion du glu­cose en milieu anaé­ro­bie à l’aide de la zymase des levures.

L’alcool éthy­lique est issu de la fer­men­ta­tion panaire, il entre en ébul­li­tion à 78°C .et donc se vapo­rise au cours de la cuis­son. Il apporte de nom­breux arômes au pain.

(Ani­ma­tion flash)

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 Alvéogramme

L’al­véo­gramme est la courbe obte­nue à l’aide de l’alvéographe Chopin.

Elle per­met de chif­frer les élé­ments de la force bou­lan­gère d’une farine (force, téna­ci­té, exten­si­bi­li­té, gon­fle­ment et élasticité).

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 Alvéo­graphe Chopin

Appa­reil qui per­met d’insuffler de l’air dans un pâton, qui est ain­si gon­flé sous forme d’une bulle jusqu’à éclatement.

Les élé­ments de la force bou­lan­gère sont enre­gis­trés sur une courbe (alvéo­gramme).

Ani­ma­tion flash

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 Alvéoles ~ Alvéolage

La fer­men­ta­tion pro­duit du dioxyde de car­bone qui forme des cavi­tés que l’on appelle alvéoles.

Il est sou­hai­table que celles-ci aient une forme et une taille légè­re­ment irrégulières.

L’en­semble des alvéoles com­pose l’al­véo­lage de la mie.

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 Amidon

C’est un sucre com­plexe inso­luble dans l’eau, qui se trouve en grande quan­ti­té dans la farine

(+ de 70 % d’amidon en moyenne dans la farine de froment).

L’amidon est une chaîne, un poly­mère de glu­cose. Il est com­po­sé de 2 fractions :

L’amylose (17–28%) de struc­ture héli­coï­dale linéaire est consti­tué de 500 à 600 uni­tés glucose.

L’amylopectine (70–80%) de struc­ture rami­fiée est consti­tué de 1000–5000 uni­tés glucose

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 Amylases

Enzymes pro­duites par le blé et qui décom­posent l’amidon en sucre plus simple : le maltose.

Alpha-amy­lases on dis­tingue celles issues de microorganismes : 

  • Alpha ‑amy­lases fon­giques : issues d’Aspergillus (Cham­pi­gnon microscopique)
  • Alpha-amy­lases bac­té­riennes : issues de Bacil­lus (Bac­té­ries).

Et les Alpha-amy­lases végé­tales : issues de la farine de blé (farine de blé maltée).

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 Amy­lose ~Amy­lo­pec­tine

Forme d’enchainement des molé­cules de glu­cose consti­tu­tives de l’amidon de blé, soit sous forme linéaire (amy­lose), soit sous forme rami­fiée (cas de l’amylopectine).

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 Amy­lo­lyse ~ Hydro­lyse de l’amidon

L’a­my­lo­lyse ou hydro­lyse de l’a­mi­don, est la décom­po­si­tion, en pré­sence d’eau, de l’amidon en mal­tose sous l’action des amy­lases conte­nues dans la farine. Ceci per­met d’apporter à la levure le sucre néces­saire à la fermentation.

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 Anaérobie

Se dit de micro-orga­nismes qui peuvent vivre dans un milieu sans oxy­gène (contraire d’aérobie).

Se dit éga­le­ment d’un phé­no­mène qui se réa­lise en absence d’air (tel que la fer­men­ta­tion alcoolique).

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 Appa­reil (Pâtis­se­rie)

Se dit d’un mélange de dif­fé­rentes sub­stances ali­men­taires entrant dans la com­po­si­tion d’une pré­pa­ra­tion en pâtisserie.

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 Apprêt

L’ap­prêt est la der­nière période de fer­men­ta­tion qui débute lorsque le pâton est façon­né ou tour­né et qui se ter­mine au moment de l’enfournement.

Le bou­lan­ger déter­mine la fin de l’apprêt en tes­tant avec la main la réac­ti­vi­té de la pâte.

Ani­ma­tion flash

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 Autolyse

C’est une période de repos de la pâte en cours de pétris­sage. Celle ci ne contient pas encore les fer­ments (levure ou levain).

Ceci per­met une bonne relaxa­tion du réseau glu­ti­neux, qui devient plus extensible.

L’autolyse per­met de cor­ri­ger ain­si des farines qui pro­dui­raient des pâtes avec un excès de ténacité.

Ani­ma­tion flash

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 Auxi­liaire technologique

C’est une sub­stance qui est uti­li­sée dans le but de ren­for­cer ou de pré­ser­ver les qua­li­tés du produit.

L’auxiliaire tech­no­lo­gique n’est pas retrou­vé dans le pro­duit final, car il est détruit par la cuis­son. (Exemple : les amy­lases fongiques).

Sur le plan régle­men­taire : L’étiquetage des amé­lio­rants et des farines qui contiennent des enzymes doit faire men­tion de leur présence.

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 Aro­ma­ti­ser (Pâtis­se­rie)

Aro­ma­ti­ser, c’est incor­po­rer un arôme ou un aro­mate à une préparation.

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